Ecrire les nouvelles pages

Le changement sollicite nos facultés adaptatives et créatives.
Comment écrivez-vous vos nouvelles pages ?

Parmi les personnes et les équipes que j’accompagne ou avec lesquelles je travaille, j’entends fréquemment « Vivement qu’on reprenne en présentiel ». Ou aussi « Je travaille mieux de chez moi, je n’ai pas envie de retourner au bureau ».

Un an après le premier confinement en France, la perspective a changé.

Nous avons vécu de multiples changement : travailler depuis la maison, alterner maison-bureau, retourner au bureau par choix, retourner au bureau par devoir…

Chaque étape sollicite notre capacité d’adaptation.

Cette situation est très typique des situations de changement, soient-ils gros ou petits. Spontanément l’humain a tendance à préférer ce qu’il connaît. L’inconnu étant instinctivement associé à un danger. 

Ecrire le chapitre suivant, en fonction des nouvelles données demande de se poser, pour soi-même, pour ses systèmes -travail, famille, association, communauté…-. Cela prend du temps. Cela demande de prendre conscience de la réalité telle qu’on la perçoit, telle qu’elle est perçue par d’autres. Et d’accepter de lâcher le chapitre précédent connu, même s’il n’est pas que confortable, et puis d’inventer le chapitre suivant.

Observez vos différents systèmes : pro perso associatif amical communautaire… Quelles pages ont déjà été écrites ? Quels nouveaux chapitres seraient utiles ? Qu’est-ce qui résiste, qu’est-ce qui tend vers le nouveau chapitre ?

Spring roses a metaphor for change

Spring roses sprung in my face as I was walking a couple of days ago, as a metaphor for change in a team.

Flower are like early leapers.
Bids are like bridge holders.
Thorns are like tradition holders.

Early leapers are at ease with change, and as blossomed roses, they have already undergone a change process. It happened earlier and quicker than the other membres of the team.

Bridge builders, like bids, are on their way to change, bridging plant and blossomed flower, during the life time of the rose bush. They are making round trips from past situation to future situation.

Tradition holders are protectors to the bush, they check wether change is good or bad to the team, they question, confront…

From a neuroscientist point of view, those roles are supported by

  • personality traits
    • pleasure for anticipation, or immediate pleasure
  • and also by triggers activated in change situations
    • displeasure or even aversion for unknown, or routine

As in this metaphor, those three roles toward change in a team are useful to the team. But they consider change from different points of view.


A team just like a rose bush is a living entity.
Team coaching supports the team to cope with change, with their different views, speeds, assets, capacities.
Like a gardener to the bush, who fertilizes, waters, tightens, props…
Team coaching brings more awareness in the team, and, as a consequence, a better capacity ton onboard.

If you think of a change situation you are experiencing, what roles are you endorsing ?
When, Why ?
What roles are you noticing in your team ?
What do you need to help this rose bush to thrive ?