Article en français ci-dessous
Are #tools inevitable in professional coaching ?
When I think about tools, here is what shows up in my mind : a hammer and a chisel, a milling machine, a laser.
Les #outils sont-ils inévitables dans le coaching professionnel ?
Quand je pense aux outils, voici ce qui me vient à l’esprit : un marteau et un burin, une fraiseuse, un laser.

When I hear my clients talk about their experience of tools in coaching, here is what they say…
« My MBTI test says I am « QSDF »
I am an introvert
I am red and somewhat yellow
I am neurodiverse, neurodivergent, hypersensitive and my relatives don’t understand me… »
I so often hear that kind of self statement, when I start a discussion with people trying to negociate a change in their lives, and understand themselves better. To my ear, those words try to sum up what the person has understood from themselves, thought a tool, an assessment, a questionnaire, a personality profile… And triggers my curiosity to discover what is hidden behind this statement.
What are the advantages of tools in supporting people ?
Considering the well known tests (MBTI, DISC…), advantages are simplicity and easy understanding and debriefing. Or even a self use, without specific debriefing skills training. And sometimes also a compulsory step in a company’s training or leadership program.
However, the limits are to fall into human #caricature and #boxing. Plus denial of Human’s #complexity, #richness and #nuance.
So, facing an overabundant and attractive offer of tools, some of them robust, some known worldwide, some innovative, or even « life changing », here are some key safeguard questions :
As a client, what tool is appropriate for you, and what for ?
As a coach, what do you need ? What does your client need ? In a company, the question is often systemic : is your client the contractor, or purchase service, or the Human Ressource service ; or the coachee benefiting the coaching ? What is fuelling your tool supplier ? What is the expected Return On Investment ?
Quand j’entends mes clients parler de leur expérience des outils en coaching, voici ce qu’ils disent…
“Mon test MBTI dit que je suis ‘QSDF’.”
“Je suis introverti(e).”
“Je suis rouge, avec un peu de jaune.”
“Je suis neuroatypique, neurodivergent(e), hypersensible… et mes proches ne me comprennent pas.”
J’entends très souvent ce type d’affirmation lorsque j’entame une discussion avec des personnes qui cherchent à négocier un changement dans leur vie et à mieux se comprendre.
À mes oreilles, ces mots résument ce qu’une personne a retenu d’un outil, un test, un questionnaire, un profil de personnalité… Et cela éveille toujours ma curiosité : qu’y a-t-il réellement derrière cette affirmation ?
Quels sont les avantages des outils pour accompagner les personnes ?
Les tests bien connus (MBTI, DISC…) offrent les atouts de la simplicité, la facilité à comprendre, un débriefing rapide, voire parfois même une utilisation en autonomie, sans formation spécifique. Et parfois, ils sont même intégrés aux formations en entreprise ou aux programmes de leadership.
Cependant, ces outils présentent aussi les écueils de la simplification excessive, la réduction de la personne à une caricature, de mettre les gens dans des boîtes. En plus de nier la complexité humaine, sa richesse et ses nuances.
Alors, face à une offre d’outils surabondante et séduisante—certains scientifiquement solides, d’autres mondialement reconnus, d’autres encore innovants, voire présentés comme “révolutionnaires”—il est essentiel de se poser les bonnes questions :
En tant que client, quel outil est adapté pour vous, et dans quel but souhaitez-vous l’utiliser ?
En tant que coach, de quoi avez-vous besoin ? De quoi votre client a-t-il réellement besoin ? Pour une entreprise, qui est le véritable client ? L’entreprise, le service RH, le service achats, ou la personne coachée ? Qu’est-ce qui motive le fournisseur de l’outil ? Une approche scientifique, une logique commerciale, ou une tendance du moment ? Quel est le retour sur investissement attendu ?