60 minutes pour célébrer – 60 minutes to celebrate

Article en français ci-dessous

Vous avez 60 minutes pour vous-même – You have 60 minutes for yourself

  • Phase 1

Installez-vous avec plusieurs feuilles de papier et un stylo -le matériel est important, car il permet de bénéficier des meilleures connexions cérébrales ! -.
Déclenchez un minuteur pour 20 minutes.
Ecrivez, au recto des feuilles, en continu, tel que cela vient -sans vous relire ni corriger l’orthographe-, en commençant par « En cette fin de 2022, je célèbre… »
Quand le minuteur sonne, finissez juste votre phrase.
Ensuite pendant 1 minute, fermez les yeux, ressentez votre état intérieur, puis entourez les 3 mots les plus importants pour vous.

  • Phase 2

Même processus, en commençant par « En 2023, j’ai envie de… »
En 1′ ressentez votre état intérieur et entourez les 3 mots qui émergent.

  • Phase 3

En 1′, écrivez une phrase avec les 6 mots que vous avez entourés.

  • Phase 4

Dans le temps restant : comment allez-vous ancrer ce qui a émergé ?

Coaches’ competencies according to ICF and EMCC – Les compétences des Coachs selon ICF et EMCC

Les références sources ICF et EMCC sont en lien en bas d’article.

Cet article vient compléter les articles :

Les coachs professionnels travaillent à partir de qui ils sont.

I coach as I am – Je coache comme je suis

Cette réalité est tout à fait fondamentale.
Les outils des coachs sont également essentiels.
Pour autant, c’est surtout la façon dont ils sont utilisés qui a un impact. Et la variété dont dispose le coach, permet de sortir de l’adage « pour un marteau, tout est clou ».

Ainsi, les référentiels des compétences des coachs professionnels permettent d’évaluer les compétences sur des critères explicites et partagés.
Ce sont également des référentiels qui permettent au coach de mesurer sa progression dans sa professionnalisation et sa capacité à accompagner des situations de coaching de complexité croissante.
Ces capacités du coach sont également en lien avec son propre développement, au sens du développement de l’adulte.

Les deux associations professionnelles des coachs ICF et EMCC ont écrit des référentiels, qui, s’ils présentent des différences, sont également très cohérents.
Par ailleurs, le référentiel ICF a été réécrit en 2020, afin d’être en meilleure adéquation avec les résultats des recherches menées par l’association.

cliquez vers le Référentiel des 8 compétences ICF
cliquez vers le Référentiel des 8 compétences EMCC

Vous êtes coach ?
Comment vous appropriez-vous ces compétences, pour les vivre au quotidien ?

Vous êtes client ou acheteur de coaching ?
Comment ces compétences résonnent-elles dans votre choix ?


This article completes these previous articles:


Sources

ICF coaches competencies

EMCC coaches competencies

Certification, accreditation: what are we talking about? – de quoi parle-t-on ?

Article en français ci-dessous

Cet article vient compléter l’article : Coaching & Qualité

Les profils Linkedin regorgent de termes décrivant les compétences des Coachs, et cela est une bonne nouvelle : la profession oeuvre pour que ses membres, travaillant dans les règles de l’art, soient reconnaissables.

Pour autant, les termes utilisés ne veulent pas toujours dire la même chose, selon la source. Voici des illustrations synoptiques pour s’y retrouver rapidement.

Le prochain article détaillera les 8 compétences clefs.

Les critères de développement professionnels sont pour ICF le nombre d’heures de formation, le nombre d’heures de coaching, et pour EMCC, le nombre d’heures de coaching, le nombre de clients, années d’expérience.
Comme cela est visible sur les illustrations synoptiques, les seuils de passage d’un stade à l’autre diffèrent.
Pour autant, ils participent à la visibilité d’éléments mesurables du développement du coach.

L’enjeu de la profession est aujourd’hui de relier encore mieux des éléments mesurables à la maturité du coach.

Envie d’en savoir plus ?
Contactez librement Agnès Grisard pour un rendez-vous découverte de coaching ou de supervision.

Coaching & Qualité – Coaching & Quality

Comment choisir un coach ?

Un précédent article faisait le point sur le choix du coach, du point de vue du bénéficiaire du coaching. Ici, nous nous interrogeons sur le choix du coach, du point de vue de l’acheteur du coaching.

L’acheteur est par exemple un responsable des ressources humaines, un directeur ou une directrice de service/département/entreprise qui dispose du budget afférent, un ou une responsable de formation, qui construit un parcours de formation, incluant du coaching.

Face à un besoin de coaching identifié, comment choisir le ou les coachs ? Afin que leur prestation corresponde au besoin de l’entreprise ?

Pour prendre un parallèle, lorsque vous achetez un yaourt, vous vous attendez à un produit de composition normée et qui a été conservé dans le respect de la chaine du froid. Qu’en est-il pour le coaching ?

Quelles règles du jeu de la profession de coach professionnel ?

Le coaching professionnel est une profession auto-régulée.
Avantage : elle est responsable de ses propres référentiels et son dynamisme et ses évolutions sont corrélées au marché.
Inconvénient : les référentiels sont multiples et il peut être difficile de s’y retrouver.

Cet article a pour objectif de clarifier les termes utilisés et ce à quoi ils correspondent.
Il clarifie les deux référentiels principaux de la profession de coach professionnel : celui de l’International Coach Federation ICF et celui du European Mentoring and Coaching Council EMCC.

Les Associations ICF et EMCC en nombres

EMCC a été fondée en 1992.
Elle compte en France 22 praticiens fondation, 115 practitioner, 45 senior, 10 master.
Et au niveau mondial 190 fondation, 825 practitioner, 979 senior, 90 master.

ICF a été fondée en 1995.
Elle compte en France 334 coachs ACC, 403 coachs PCC, 49 coachs MCC.
Et au niveau mondial 14 770 coachs ACC, 14 536 coachs PCC, 1565 coachs MCC.

NB : ces chiffres sont ceux relevés le jour de l’écriture de l’article sur les annuaires des deux fédérations.

Des objectifs communs

Ces deux associations travaillent de concert, pour développer la professionalisation des coachs, via des formations de qualité -indépendantes, délivrées par des organismes dont c’est la mission-, et des processus de labelisation des maturités des coachs, au fil de leur développement professionnel.

Pour cela, chaque association a ses propres critères et niveaux exigés.

Pour autant, la logique est bien la même :

  • soutenir le développement professionnel, via la formation et la supervision de coach
  • donner des référentiels de qualité explicites pour les acheteurs de coaching : les compétences sont observées sur le terrain, par des personnes qualifiées et indépendantes des écoles de formation

Attention, le RNCP, système de qualification des formations sur le territoire français uniquement brouille la compréhension, car il utilise des termes identiques aux référentiels internationaux, mais avec des contenus différents, comme celui de « coach professionnel » ou encore de « certification » -voir le schéma-.

Les indicateurs de développement professionnel ou « stades » sont au nombre de 3 chez ICF, et de 4 chez EMCC.
Les certificats et accréditations sont renouvelables à échéance de 3 an pour ICF et de 5 ans pour EMCC.
Ces éléments seront détaillés dans les prochains articles :

Certification, accréditation, de quoi parle-t-on ?
Les compétences des coachs selon ICF et EMCC

Les enjeux de la profession de coach professionnel

Aujourd’hui les enjeux de la profession de coach sont :

  • de soutenir la professionnalisation des coachs et
  • de développer la professionnalisation des superviseurs.

Les référentiels de compétences de supervision existent, et les organismes de formation s’en saisissent activement.


How to choose a coach?

What are the rules of the game of the professional coaching profession?

Silence & Présence – Silence & presence

Quelle relation entretiens-tu avec le silence : quelle place occupe-t-il dans ta vie ?

« Le meilleur moment d’un concert, c’est quand la musique s’arrête. »

C’est quelque chose que j’expérimente quotidiennement, à travers la voix. En voix chantée ou voix parlée. Et c’est bien l’alternance voix-silence qui donne toute sa richesse au son et aussi au silence. L’impermanence de l’un confère sa valeur à l’autre.

Que t’ apporte le silence dans ton environnement professionnel ?

Dans ma pratique de coach professionnel, je prends régulièrement la mesure de la richesse du silence.
Quand je sens les mots se bousculer dans ma bouche, et ma pensée qui s’emballe, il est temps de faire une pause ! De revenir à la présence à moi, à l’autre.
Avant ou après une question. Je prends le temps d’accueillir ce temps de silence, signe de la réflexion en chemin, prémices d’une prise de conscience, d’une pépite qui émerge, là, sous mes yeux, dans un émerveillement chaque fois renouvelé.

Quand le client ou le groupe est en silence,
en pause,
en suspension,
en réflexion.

En atelier de méditation de pleine conscience, lorsque le bol a retenti et que les vibrations sonores s’amenuisent, laissant place au silence et chacun à sa bulle, à sa propre présence intérieure.

Quelle est la dernière fois que tu as convoqué le silence ? Peux-tu nous raconter pourquoi, comment, dans quelles circonstances ?

Je convie le silence à s’installer avec moi, sur mon coussin de méditation, dans la pièce où je suis, le siège du train qui m’emmène, la nature où je marche, la foule où je déambule.

Dans le silence, l’écho de ma pensée monte, bruissement ou tempête. J’observe l’évolution de ce qui advient, m’émerveille de ce que me livre mon intuition, curieuse de ce que je vais y découvrir, avec toute la bienveillance dont je suis capable à ce moment- là.

Une incroyable richesse nait de ces moments, une fulgurance, une clairvoyance. Et s’il ne devait rien advenir de particulier, ce serait juste un bon moment passé en présence avec moi, une connexion authentique et ressourçante.

Le dernier silence ?
Hier midi, en savourant un carré de très bon chocolat noir.


Choisir son coach – Choosing your Coach

Cette question revient régulièrement, tant sur les réseaux sociaux que dans les discussions en entreprise ou en réseaux.
Et c’est une question essentielle !
Cette prise de décision a un enjeu, celui des bénéfices que la personne coachée pourra obtenir de son engagement dans un parcours de coaching. Les bénéfices du coaching diffusent également dans l’entreprise, notamment grâce à un phasage de coaching, règle de l’art de la profession.
Plusieurs approches de choix peuvent être envisagées, ainsi que leurs combinaisons.

Un professionnel certifié par un organisme indépendant – A professional certified by an independent body

Quand vous achetez un yaourt, il vous semble normal d’avoir une garantie quant à sa fraicheur, à la continuité de la chaine de froid et sa composition. Et bien cela pourrait être une métaphore pour un achat de coaching !
En France, des organismes professionnels officiels certifient les coach professionnels, de façon indépendante (sans être également des organismes de formation) : ICF et EMCC.

La certification externe évalue :

  • la formation initiale et continue du coach, notamment par des écoles auditées et reconnues par la profession
  • la réflexion sur la pratique professionnelle, via la supervision individuelle ou collective
  • l’analyse de la conformité la pratique au regard d’un référentiel de compétences (attesté par des séances de coaching enregistrées dans la certification initiale ICF)
  • le nombre d’heures de pratique de coaching
Certification validity in years
Durée de la Certification en années
ICF : 3
EMCC : 5
ICF-ACC
Associate Certified Coach
ICF-PCC
Professional Certified Coach
ICF-MCC
Master Certified Coach
Stades d’expertise
Stages of expertise
récent
recent
confirmé
confirmed
expert
ICF monde – worldwide
35 000 in 2021
including 800 in France
60%40%0,4%
heures de formation
training hours
> 60> 125> 200
heures de coaching
coaching hours
>100> 500> 2500
Les stades d’expertise du Coach Professionnel, selon le référentiel ICF – Expertise Stages of Professional Coaches, according to the ICF

Un coach avec qui vous avez vécu une séance

Faites aussi confiance à votre intuition. La relation de confiance est essentielle au processus de coaching. Faites une première séance ou un entretien découverte et déterminez vous ensuite pour un engagement dans un parcours de coaching.

Un coach référencé

Un coach qui vous est recommandé par votre réseau ou qui peut fournir des références de coaching d’anciens clients.

Oser s’affirmer au quotidien – Dare being assertive on a daily basis

On entend fréquemment parler de l’affirmation de soi, dans un contexte professionnel ou encore dans un contexte personnel.
Mais que recouvre cet intitulé ? Et comment s’affirmer individuellement, dans un fonctionnement collectif, en étant dans un juste équilibre entre le point de vue individuel et le point de vue collectif ?

Partons du cœur de l’affirmation de soi : l’individu.

L’affirmation de soi peut également être appelée l’assertivité. C’est une posture dans laquelle on prend position, face à un groupe, face à un système. Dans cette posture, on n’est ni dans l’agressivité, ni dans la fuite, ni dans la manipulation.

Prenons un exemple

Vous assistez à une réunion qui démarre en retard. Cela ne vous convient pas parce que vous avez énormément de dossiers à traiter et pas de temps à perdre. Si vous adoptez une posture d’agressivité, vous pourriez par exemple, souffler, soupirer, regarder ostensiblement votre montre, reprocher vivement son retard à l’organisateur de la réunion. Si vous adoptez une posture de manipulation, vous pouvez clamer tout haut « Oui habituellement avec untel les réunions sont en retard… » Si vous adoptez une posture de fuite, vous ne dites rien, vous assistez à la réunion et vous faites autre chose pendant la réunion, comme consulter vos e-mails ou traiter vos dossiers sur votre ordinateur ou votre Smartphone.

Quelle serait alors une réaction assertive ?

Cela pourrait être de dire simplement que le retard de la réunion vous contrarie, car vous avez d’autres sujets importants à traiter. Vous pouvez également proposer une solution qui serait bonne pour vous, ainsi que pour les autres.

Qu’est-ce qui fait que parfois il est difficile de s’affirmer ?

Les paramètres sont multiples. Il y a tout d’abord des paramètres éducatifs, culturels mais également des paramètres qui sont plus liés à l’instant, comme le niveau de sérénité ou de stress dans lequel vous vous trouvez. L’ambiance du groupe dans lequel vous êtes est également un paramètre qui va faire varier votre affirmation spontanée.
Le côté culturel ou éducatif nous fait intégrer un certain nombre de valeurs. Si pendant toute votre enfance vous avez appris qu’être en retard n’était pas du tout autorisé, vous risquez d’être très réactif dans la situation d’une réunion qui démarre en retard. Si au contraire vous avez appris à gérer les aléas, vous aurez d’emblée une posture beaucoup plus souple.
En plus de la question de vos valeurs, qui sont personnelles, l’état émotionnel dans lequel vous êtes, au démarrage de la réunion, a également une incidence. Si vous arrivez dans un état détendu, il y a plus de chance qu’un retard de réunion ne vous affecte pas ou peu. Si vous arrivez dans un état stressé, notamment par des questions de délai sur vos autres sujets, le retard de la réunion à de fortes chances de vous contrarier.
Enfin, dans un groupe avec des « fortes personnalités » il peut être plus difficile de s’affirmer.

Alors comment faire, pour améliorer son assertivité ou son affirmation de soi ?

Notons que, culturellement, les femmes sont plus souvent incitées à prendre soin des autres, donc à faire passer leurs besoins après celui de leur entourage. L’affirmation de soi, voire le syndrome de l’impostrice, est donc plus fréquemment un sujet de développement personnel.
La toute première étape de l’assertivité est de prendre conscience de ce qui se joue pour soi et pour le groupe : des valeurs qui peuvent être atteintes, l’état émotionnel qui peut être chahuté, une composition de groupe particulière. En somme, faire le point sur sa boussole interne. Puis, dans un deuxième temps, exprimer de façon calme et posée ce que l’on souhaite réellement. Par exemple, en utilisant des tournures de phrases telles que : Il est important pour moi de…, J’ai besoin de…, Je voudrais…, Etc.

Comment progresser ?

Commencez par identifier les sujets qui vous font habituellement réagir. Essayez de comprendre ce qui est touché chez vous. Et, chaque jour, entraînez-vous à essayer de dépasser cette posture automatique, afin de développer une autre posture plus adaptative, qui vous aidera à être plus confortable dans vos interactions en groupe et à déployer votre leadership, avoir plus d’impact, moins subir les situations tout en prenant les autres en compte.


Se parler de vive voix – Speak in person

J’observe de manière récurrente une problématique qui touche massivement mes clients individuels et collectifs : on n’a plus le temps de se parler de vive voix.

Photo Credit : A Grisard

Il y a 20 ans quand on appelait quelqu’un, on avait de fortes chances que la personne décroche son téléphone. Voire réponde à un message écrit ou vocal. 
Aujourd’hui c’est devenu tout à fait exceptionnel. Sauf en cas d’urgence.
Générant son lot de stress.

Il y a 20 ans quand on appelait une entreprise via le standard téléphonique, une personne en chair et en os filtrait ou mettait en relation avec le correspondant demandé, selon les consignes qui lui étaient données.
Aujourd’hui on tombe sur un standard vocal, qui propose plein d’options… Pourvu que ce dont on a besoin corresponde à l’une des options !!! Ou aussi parfois sur une boîte vocale saturée. 
Générant son lot de stress.

Avec mon regard et mon expérience de coach systémique, et j’observe que c’est lorsque les humains se parlent, vraiment, que les questions se dénouent, que la créativité s’offre, sur des petites choses ou des problématiques plus complexes. 

  • Dans des journées, qui ne font toujours que 24 heures,
    • Qu’est-ce que cette surcharge de tâches empêche ?
    • Qu’est-ce qu’elle permet ? 
  • Vers quel équilibre serait-il intéressant de tendre :
    • dans la dimension individuelle ?
    • dans la dimension systémique ?
  • Qu’avez vous fait ces dernières 24h pour nourrir vos 3 relations privilégiées
    • dans votre vie personnelle,
    • dans votre vie professionnelle ?
  • Et pendant ces 7 derniers jours ?
  • Quid de votre relation à vous-même ? Combien de temps vous offrez-vous ?

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Emotional field in coaching – Champ émotionnel en coaching

Article en français ci-dessous

Ce matin encore j’ai été émerveillée par la capacité de l’animal domestique de mon client d’être connecté à son état intérieur. Et à servir de révélateur, ou de miroir de cet état émotionnel.
Maintenant que des séances de coaching ou de supervision se passent régulièrement via zoom, chez mes clients, les animaux domestiques entrent dans la danse du coaching

Crédit Photo : CLabate ; THorudko

En effet, ils partagent avec nous, mammifères comme eux,  la gouvernance instinctive et la capacité de résonance émotionnelle, ou l’empathie
Ainsi, avant même que le client sache nommer son émotion, son animal de compagnie lui a donné des signaux.
Aboiement, agitation, interposition entre le client et l’écran, activité calme dans son coin, endormissement…

Et ces signaux sont précieux à questionner :

  • Que se passe-t-il, là, à l’instant ?
  • De quoi est-ce le signe ?
  • Et vous, comment utilisez-vous ces ressources ? 
  • Pour vous-mêmes, ou pour vos clients -si vous êtes coach- ?
  • Comment vous rendez-vous disponibles à ces signaux subtiles et riches d’informations ?

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