Choisir son coach – Choosing your Coach

Cette question revient régulièrement, tant sur les réseaux sociaux que dans les discussions en entreprise ou en réseaux.
Et c’est une question essentielle !
Cette prise de décision a un enjeu, celui des bénéfices que la personne coachée pourra obtenir de son engagement dans un parcours de coaching. Les bénéfices du coaching diffusent également dans l’entreprise, notamment grâce à un phasage de coaching, règle de l’art de la profession.
Plusieurs approches de choix peuvent être envisagées, ainsi que leurs combinaisons.

Un professionnel certifié par un organisme indépendant – A professional certified by an independent body

Quand vous achetez un yaourt, il vous semble normal d’avoir une garantie quant à sa fraicheur, à la continuité de la chaine de froid et sa composition. Et bien cela pourrait être une métaphore pour un achat de coaching !
En France, des organismes professionnels officiels certifient les coach professionnels, de façon indépendante (sans être également des organismes de formation) : ICF et EMCC.

La certification externe évalue :

  • la formation initiale et continue du coach, notamment par des écoles auditées et reconnues par la profession
  • la réflexion sur la pratique professionnelle, via la supervision individuelle ou collective
  • l’analyse de la conformité la pratique au regard d’un référentiel de compétences (attesté par des séances de coaching enregistrées dans la certification initiale ICF)
  • le nombre d’heures de pratique de coaching
Certification validity in years
Durée de la Certification en années
ICF : 3
EMCC : 5
ICF-ACC
Associate Certified Coach
ICF-PCC
Professional Certified Coach
ICF-MCC
Master Certified Coach
Stades d’expertise
Stages of expertise
récent
recent
confirmé
confirmed
expert
ICF monde – worldwide
35 000 in 2021
including 800 in France
60%40%0,4%
heures de formation
training hours
> 60> 125> 200
heures de coaching
coaching hours
>100> 500> 2500
Les stades d’expertise du Coach Professionnel, selon le référentiel ICF – Expertise Stages of Professional Coaches, according to the ICF

Un coach avec qui vous avez vécu une séance

Faites aussi confiance à votre intuition. La relation de confiance est essentielle au processus de coaching. Faites une première séance ou un entretien découverte et déterminez vous ensuite pour un engagement dans un parcours de coaching.

Un coach référencé

Un coach qui vous est recommandé par votre réseau ou qui peut fournir des références de coaching d’anciens clients.

Supervision de groupe et connexion – Group SuperVision and connection

L’espace de supervision en groupe offre la possibilité de se reconnecter à soi et par là-même à se connecter à l’autre.

L’autre son client.
L’autre ses collègues coachs.
L’autre son superviseur…

D’être présent.
Présent à soi.
Présent à la relation.

Helena Garza – Photo credit : Agnès Grisard

Dans cet espace, soutenu par des processus et des compétences incarnées par le superviseur et par les coachs, ont lieu des transformations, qui favorisent la qualité du coaching, qui ressourcent les participants, qui ouvrent les possibles face aux questions et situations amenées par les coachs.

C’est un espace nourrissant la relation à soi des membres du groupe, les relations aux clients coachés, à leurs propres environnements relationnels.

Le potentiel 1+1 = 3 s’y concrétise, grâce à l’intelligence collective, les compétences comportementales des participants et la magie de ce qui émerge dans l’instant.

C’est un espace de connexion profonde, de transformations, qui se passe des contenus habituels que nous collectons pour être confortables dans la relation avec une personne nouvelle, pour l’évaluer et jauger si elle nous convient, et si nous pouvons y être en sécurité. Qui est cette personne, où vit-elle, quelle est son histoire, quel est son métier, combien gagne-t-elle, a-t-elle des enfants, ses parents sont-ils encore de ce monde…

Dans cet espace de connexion particulier, les atours sociaux habituels peuvent céder la place à l’authenticité, à la simplicité, à accueillir l’être avec nos et ses forces, failles, joies.


Intelligence Artificielle : au quotidien de l’Executive – AI in an Executive’s daily Life

Article en français ci-dessous

Intelligence Artificielle (AI) & Business
ou
Histoire d’agilité mentale dans la relation avec un grand compte.

Je facture pour la première fois un nouveau grand compte😁, et je reçois une commande, qui m’invite à envoyer ma facture à une adresse postale. Prise d’un doute🧐, je communique avec l’interlocuteur « est-ce que je dois vraiment envoyer ma facture papier par la poste ? ». 

ARE YOU SERIOUS ???



7 emails plus tard j’arrive sur une plateforme de facturation en ligne -ouf ! la voix de ma « conscience écolo » ☘️a tenu bon face à ma « gestionnaire »📈 qui me soufflait que j’aurais déjà fini le processus depuis belle lurette…

Et là, nouvelle expérience : je découvre une facette de l’univers de l’AI… ma facture est lue par une AI, et les cases sont remplies automatiquement. Mon biais initial est de penser que c’est bien fait. Mais de rejet d’enregistrement en rejet d’enregistrement, je finis par comprendre que 80% des cases remplies sont mal remplies… Donc je recommence tout à la main 😉

Quelques heures et jours après, je clique sur Valider…
Yeahaaaa « Votre facture est validée » 🤸‍♂️🏄‍♂️🧗🥇Je viens d’accéder à la possibilité d’être payée💶 pour ma prestation de coaching !

Mes apprentissages

Revenir aux bases de l’agilité mentale 🧠 !!!

Quand ça ne marche pas, qu’est-ce que je peux faire d’autre ↔️🖇↕️ ?

Qu’est-ce que je prends pour vrai ✅, par défaut, et qui ne l’est peut-être pas ?

Comment est-ce que je gère les voix 🎶contradictoires en moi : la « gestionnaire » qui veut de l’efficacité, la « curiosité » comment fonctionne cette plateforme, la « ténacité » je l’aurais, la « sociale » auprès de qui je pourrais trouver du soutien pratique ou émotionnel, la « sage » il y a surement quelque chose à tirer de cette expérience… ?

Quand mon corps m’envoie des émotions -l’énervement ici-, et des pensées -je suis tombée dans un gouffre d’absurdie🤬- et me fait agir -je grille mon énergie d’une manière disproportionnée-, c’est un signal #intelligent qui m’invite à prendre de la hauteur et faire autre chose, et voir la situation autrement.

Et finalement, je remercie ce nouveau grand compte qui me fait vivre une situation complexe…
Tout comme celles de mes clients, en terme de processus mentaux #gouvernanceautomatique #gouvernanceadaptative.
Situations pour lesquelles ils comptent sur moi, pour se développer et trouver leurs #stratégies d’agilité #mentale 🧠, #émotionnelle❤️ et #comportementale🧍🏻‍♀️!

Emotional field in coaching – Champ émotionnel en coaching

Article en français ci-dessous

Ce matin encore j’ai été émerveillée par la capacité de l’animal domestique de mon client d’être connecté à son état intérieur. Et à servir de révélateur, ou de miroir de cet état émotionnel.
Maintenant que des séances de coaching ou de supervision se passent régulièrement via zoom, chez mes clients, les animaux domestiques entrent dans la danse du coaching

Crédit Photo : CLabate ; THorudko

En effet, ils partagent avec nous, mammifères comme eux,  la gouvernance instinctive et la capacité de résonance émotionnelle, ou l’empathie
Ainsi, avant même que le client sache nommer son émotion, son animal de compagnie lui a donné des signaux.
Aboiement, agitation, interposition entre le client et l’écran, activité calme dans son coin, endormissement…

Et ces signaux sont précieux à questionner :

  • Que se passe-t-il, là, à l’instant ?
  • De quoi est-ce le signe ?
  • Et vous, comment utilisez-vous ces ressources ? 
  • Pour vous-mêmes, ou pour vos clients -si vous êtes coach- ?
  • Comment vous rendez-vous disponibles à ces signaux subtiles et riches d’informations ?

#signaux #embodiment #zoomdezoom #gouvernancescerebrales #révélateur

SuperVision Stories #8 Ecoute active – Active listening

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’écoute active.

La supervision comme le coaching sont des espaces relationnels privilégiés pour le travail de l’écoute active.

Qu’est-ce que l’écoute active (compétence 6) ? 

Avec les termes de l’ANC, l’écoute active est une écoute sur deux niveaux : contenant et contenu. Avec d’autres modèles de compréhension de l’humain, l’écoute porte à la fois sur l’histoire qui est racontée, la situation qui est rapportée, que sur les mécanismes sous-jacents à l’histoire et à la façon dont elle est mise en scène dans le récit. Avec éventuellement les récurrences que le coach remarque chez son client.

Elle est active en ce sens que le coach, ou le superviseur reformule ce qu’il a compris -qui n’est que sa vision de la réalité-, et questionne le reste. Et l’écoute est également active en ce sens que le coach ou le superviseur travaille avec les signaux, émotionnels, de champ d’énergie, les silences… Signaux de son interlocuteurs et signaux internes de ses propres antennes.
La capacité du coach de confronter son client tout en restant naif -ou dans le non savoir, non jugement- est clef dans cette écoute active. Et comme il est question de confronter, cela renvoie également au contrat relationnel (compétence 3), qui a permis de clarifier le style relationnel qui convient explicitement au client ou au supervisé. Ou encore à la capacité à susciter des prises de conscience (compétence 7).

Compétences du référentiel ICF Competencies referential

SuperVision Stories #7 éthique – ethics

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’éthique et l’esprit de coaching.

La supervision comme le coaching sont des espaces relationnels privilégiés pour les manifestations de l’éthique du coaching et du coach, ainsi que l’esprit de coaching.

Qu’est-ce que l’éthique ? Qu’est-ce que l’esprit de coaching ? Même s’il est ambitieux de répondre à cette question dans un article, tentons d’éclairer cette question.


Zoom sur l’éthique (Compétence 1)

Un point d’achoppement régulier en coaching est celui de la différence entre la consultance et le coaching, voire la thérapie.

Lors de la formulation des objectifs de coaching, le client demande souvent des conseils pour accomplir ceci ou cela. 
Comment alors accueillir à la fois sa demande, qui est une manifestation de sa représentation du coaching et de sa capacité à clarifier son objectif et clarifier la différence entre la consultance, le coaching, la thérapie, la facilitation ?
Comment utiliser un langage approprié pour être entendue ? Pour rencontrer le client là où il est, et l’accompagner à aller là où il veut ? Voire pour garder la liberté de se positionner face au client comme n’étant pas la bonne ressource pour répondre à sa demande.

La confidentialité est également un élément essentiel de l’espace de coaching. C’est une chose de le verbaliser, c’en est une autre de faire en sorte qu’elle soit effective. A la fois dans les informations échangées verbalement que dans les informations échangées par des moyens électroniques ou autres (quelles sont les conditions générales de vente du coach, comment est-il en capacité de garantir à son client -bénéficiaire du coaching, payeur du coaching- ses processus de conservation ou effacement des données.

Ce point touche également la question du consentement. Comment faire en sorte que dans la relation avec le client, son consentement soit clef, dans l’instant et dans la durée ?

Cette question est également à éclairer en considérant « le client » comme la personne bénéficiaire du coaching, ou comme la ou les parties prenantes de l’entreprise impliquées dans le coaching (RH, manager…).


Zoom sur l’état d’esprit Coaching (Compétence 2)

Une coach dans une conversation de supervision raconte comment elle prépare ses séances et imagine à l’avance ce qu’elle va faire comme exercices avec son client. 
En dépliant la situation, elle prend conscience de sa peur de ne pas être à la hauteur, du manque de confiance dans ses capacités de coach, de ses questionnements sur sa légitimité, et du fait que cette préparation bloque la séance dans un scénario pré-écrit, sous-tendu de pré-jugés, en contradiction avec la « danse avec le client » ou la co-création du contenu de la séance en direct live. 
Le tout dopé par des jugements, envers elle-même ‘je ne suis pas assez compétente’ et envers son client ‘il lui faut ceci’.

Par la pratique réflexive de SuperVision, cette prise de conscience, l’amène à travailler sur son sentiment de compétence (Gouvernance émotionnelle), sur la responsabilité du client dans la séance, sur le co-pilotage de la séance (Gouvernance adaptative et Assertivité).

Ce cheminement est typique de la progression du jeune coach tout juste sorti de formation vers une maturité qui s’affine au fil de la pratique. L’incarnation, ou la personnification de l’état d’esprit Coaching est un processus qui se fait dans le temps. Et c’est cela qui est évalué dans les certifications/accréditations externes des associations de coachs, avec différents niveaux de maturité de coach.
Il renvoie aussi à la question de l’éthique du coach ou du superviseur (Compétence 1), qui est responsable de sa pratique réflexive, sa supervision, son développement professionnel et la maintenance des compétences avec un avis extérieur et indépendant.

Compétences du référentiel ICF Competencies referential

SuperVision Stories #6 confiance et sécurité – confidence and security

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’état la Confiance et de sécurité dans la séance.

In a supervision space, supervisor and supervised(s) explore elements of coaching. Let’s focus here on the state of Trust and Security in the session.

La supervision comme le coaching sont des moments privilégiés pour expérimenter et réfléchir à l’installation de la confiance et de la sécurité dans l’espace de coaching (compétence 4).

La confiance et la sécurité de l’espace de coaching ou de supervision sont essentiels. En effet, difficile d’aborder des sujets sensibles, si l’on ne se sent pas en sécurité, ou si on a mal dormi, ou qu’on a faim. En effet, notre cerveau gère les priorités ! 
Le besoin de sécurité est un niveau fondamental de la Pyramide de Maslow, qui lorsqu’il est comblé permet d’aborder les suivants, ceux des liens sociaux, le besoin d’accomplissement et le besoin de réalisation de soi. 

  • Comment clarifiez-vous avec votre client ses besoins, à chaque étage, et plus particulièrement en terme de sécurité relationnelle et de confiance ?
  • Comment incarnez-vous ces compétences ?
  • Comment percevez-vous les signaux d’alerte d’insécurité ou de manque de confiance ?
  • Que faites vous de ces signaux ?

Compétences du référentiel ICF Competencies referential

SuperVision Stories #5 contrat – contract

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’état le Contrat dans la séance.

La supervision comme le coaching sont des moments privilégiés pour expérimenter et réfléchir à l’installation et la maintenance du contrat de coaching (compétence 3).

Une coach souhaite travailler sur son inconfort avec des coachés qui ne s’engagent pas ou pas vraiment dans leur coaching.

Nous explorons la façon dont elle installe et propose l’engagement. Sur des aspects très concrets, tels que le contrat de coaching, les moments d’ajustement, ainsi que sur des aspects relationnels, notamment les freins du coach pour questionner cet espace de la relation de coaching.

Quelle est votre liberté pour questionner votre client sur ses objectifs réels (Compétence 7) ?

  • Pour travailler avec votre inconfort, votre peur de perdre le client parce que ça se passe mal ? Vos gouvernances émotionnelles -évitements, compensations, valeurs- en langage ANC.
  • Pour travailler avec un client qui « abuse » : qui décale ses rendez-vous de façon répétitive, qui paie à retardement, qui arrive en retard, qui ne fait pas ce qu’il s’était engagé à faire dans son plan d’action, qui change d’objectif, qui « part dans tous les sens »…

Compétences du référentiel ICF Competencies referential

SuperVision Stories #4 emergence

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’émergence dans la séance.

La supervision comme le coaching sont des moments privilégiés pour l’émergence.

Qu’est-ce que l’émergence ? 

Selon les points de vue et les métaphores, cela peut être la partie émergée de l’iceberg, qui apparait parce qu’on y porte son attention, cela peut aussi être ce qui arrive et à quoi on ne s’attendait pas et dont on prend conscience (compétence 7). Ce qui surgit… « pop »… dans notre esprit ou notre corps, dans une énergie qui peut être très calme, comme très pétillante voire jaillissante !

L’émergence est l’aboutissement d’un voyage du connu vers l’inconnu, où sont fort utiles les compétences de lâcher prise, de curiosité, de changement de regard, de connexion au ressenti, de présence à ce qui est ici et maintenant.

De cette première phase de voyage émerge, lors de la seconde phase, une autre façon de percevoir et voir les choses, une nouvelle approche et la mise en action avec ces nouvelles données.

Par exemple, dans une séance, un coach se rend compte, via une mise en situation dans l’espace de supervision, que sa posture dans l’espace avec son client agit à l’inverse de l’objectif affiché de son client. De cette prise de conscience nait une idée de mise en action différente à la séance suivante. Séance suivante réalisée, le coach témoigne de la prise de conscience du client, et de l’accélération de l’avancement vers son objectif.

Les processus parallèles sont une matière de travail, qui à partir de ce qui se passe dans l’espace de supervision, permet de révéler ce qui se passe dans l’espace de coaching et qui n’est pas nécessairement totalement conscient pour le coach et a fortiori le client.

En termes ANC, par exemple une gouvernance « en compensation » du client peut résonner avec celle du coach et avec celle du superviseur. Et c’est cette partie émergée qui permet d’aller travailler sur les parties immergées pour le coach et le client. En quelques sortes, une cascade de gouvernances. Ou encore, pour utiliser un terme de la psychologie un transfert et un contretransfert.

Un exemple de cascade est celle de la recherche de reconnaissance. Le client vis à vis de son coach « dis moi que je suis un bon client », le coach vis à vis de son client ‘dis moi que je suis un bon coach », le coach vis à vis de son superviseur « dis moi que je suis un bon superviseur »…

D’où l’importance cruciale pour le coach et le superviseur de travailler ses gouvernances en compensation (Compétence 5), afin de ne pas en être le jouet mais plutôt de s’en servir pour le travail de supervision et de coaching.

Compétences du référentiel ICF Competencies referential

SuperVision Stories #3 ressourcement – revitalization

Dans un espace de supervision, superviseur et supervisé(s) explorent des éléments du coaching. Focalisons ici sur l’état de ressourcement du coach à l’issue de la séance.

La supervision est aussi un espace pour se ressourcer, reprendre son souffle, se reconnecter à soi, prendre le temps d’exercer sa réflexivité.

L’automne est là avec son cortège de feuilles mortes qui tombent, ses marrons et ses levers de soleil incroyables. Et son changement d’énergie.

Ce changement d’énergie émerge dans les relations et particulièrement en supervision, sous des formes variées, des conflits, de la fatigue, le sentiment d’être débordé, de consommer plus que l’énergie disponible…

Naturellement, cette saison est celle des récoltes et de la préparation de la saison suivante. La transition entre l’été et l’hiver. La lumière change en nature et en quantité. Le nombre d’heures de jour diminue au profit des heures de nuit, depuis le solstice d’été, et aujourd’hui le réveil matinal se fait de nuit. Les rhumes d’hiver se déclenchent, et sont cette année d’autant plus virulents que notre immunité a été moins sollicitée ces deux derniers hivers via les restrictions de brassages sociaux.

  • A quoi vous invite cette période ?
  • Que vous évoque l’automne ?
  • Quelle est votre collecte ?
  • Comment aménagez-vous votre intérieur pour cette période ? A quoi ressemble votre extérieur ? (compétence 5)
  • Qu’offrez-vous à vos coachés dans cette période particulière ?
  • Comment vos prises de conscience résonnent-elles dans votre espace de coaching ? (compétence 7)

Compétences du référentiel ICF Competencies referential